MUSCADEATH XXI : Une formule gagnante… !! 29 et 30 septembre 2023)

Hey !! Salut chers lecteurs ! On ne se connaît pas mais quelle rencontre…

Comment présenter le MUSCADEATH ? Que dire de cette édition ? Comment vous raconter cette rencontre… C’est ce que je vais tenter de faire dans cet article. Mais vous, qui êtes derrière vos écrans en train de lire ces quelques lignes, si vous avez un seul truc à retenir, ce sont ces 4 mots :

PUTAIN, ALLEZ-Y, FONCEZ !!!!!

Pour moi ce ne fut pas sans galère pour arriver jusqu’à toi…MUSCADEATH… Merci la SNCF pour commencer (SNCF… en retard… mais quelle drôle d’idée… jamais…) qui m’a permis de me nourrir, durant quelques heures supplémentaires, de délicieuses sonorités de ma playlist… sans compter les quelques heures de voiture (toujours armé de cette grande playlist) afin de traverser une bonne partie de l’ouest de la France pour arriver dans la région de la Terre Sainte des metalleux, en cette fin du mois de Septembre 2023 (29 et 30).

Oui, cette même terre qui accueille un certain autre festival un peu connu dont mon compère Christophe N. vous a offert un live report que je vous invite à aller lire après avoir terminé celui-là !

Enfin me voilà arrivé à Vallet, où je suis accueilli par mes cousins métalleux comme dirait Amandine (petite dédicace) …Et oui… que voulez-vous, on est une grande famille ! Ces même cousins arrivés d’un peu toutes les régions de France, de Navarre et même de quelques pays frontaliers… Une foule assoiffée qui est venue d’un peu partout déguster le MUSCADEATH.

Et personnellement j’avais grand soif ! Après une saison chargée, pas moins de 5 festivals, pour finir avec toi MUSCADEATH et j’ai été rassasié : quel festival !!!

Je vais vous raconter tout ça plus en détails et avec des images (parce que c’est cool les images) … Par contre étant nul en photo je tiens à envoyer un (même plein de) très grand merci à Mémé Migou de Soil chronicles ainsi que Aurélie Lafaute dont vous trouverez le lien Insta pour les visuels vous régalant les yeux dans cet article. (Et pour votre plus grand plaisir je viendrai quand même y glisser 1, 2 ou 3 photos, pour vous montrer toute ma technicité dans cet art (mdr…).

Allez c’est parti…

Première journée (29/09/2023)

Et quel départ pour cette première soirée (donc déjà entamée à mon arrivée… snifff…). Commençons tout de même par faire un petit tour de ton site MUSCADEATH. L’accueil est au top, le site se prête bien à l’exercice et l’organisation que dire… On sent tout de suite l’expérience des organisateurs, car c’est tout simplement excellent de mon point de vue, comme de celui des artistes (cf les interviews de BLOCKHEADS, NECROWRETCH, CARCASS, BLOOD RED THRONE, et de GOD DETHRONED). Les bénévoles prennent vraiment plaisir à être ici, ça se ressent et ça se propage d’autant plus que ta taille MUSCADEATH permet réellement d’avoir cette ambiance que l’on ne peut trouver que sur des festivals dits à taille humaine. J’ai même envie de dire familial et ceci sans exagérer (j’y reviendrai un peu plus loin).

La salle est bien dimensionnée pour les concerts, ainsi que les espaces du MERCH et dédicaces. Mais surtout le son est vraiment très bon et il en est de même pour les jeux de lumières. Donc tout est réuni pour régaler nos oreilles et nos cornées. Tout est dit dans la première partie du nom ‘MUSCA‘ … Et oui la région s’y prête n’est-ce pas ! Allez, pour les metalleux amateurs de bières, ne vous inquiétez pas, on y est aussi y a de quoi faire !! Le seul petit bémol est d’avoir un seul TPE au niveau du bar… et oui tu sais bien qu’on n’aime pas les verres vides : un léger embouteillage peu se faire ressentir de temps en temps. Ceci étant aussi dû, peut-être, au fait que les festivaliers n’utilisent pas majoritairement la monnaie MUSCADEATH.

Côte nourriture tu as, également un stand tenu par les bénévoles qui nous permet de satisfaire nos papilles.

Niveau ambiance je ne reviens pas sur les bénévoles très souriants, bon vivants et de super bonne volonté, c’est juste un régal. Et on n’est pas en reste avec les festivaliers bien entendu, l’ambiance est exactement la même : ça rigole, ça discute, ça fait des rencontres (et quelles rencontres… !! j’y viendrai dans quelques lignes) et bien sûr, ça trinque !! Et c’est cette ambiance qui nous fait nous sentir bien et surtout qui m’a donné ce sentiment de famille car c’était vraiment ça mon ressenti. Un festival familial et merci pour ça à toi MUSCADEATH parce que personnellement, c’est ce que j’aime et je ne suis pas le seul, de ce que j’ai vu et entendu. Au détour de quelques conversations et interviews, dont Ewen (festivalier et bénévole pas en herbe car il l’est sur plusieurs festivals), c’est d’ailleurs ce qui ressort.

« Je préfère aujourd’hui retrouver cette ambiance. Et regarde, d’une rencontre fortuite (entre lui et moi), parce qu’on est sortis au même moment de la salle, on est en train de discuter. Tu me payes un coup et on se fait une discussion sur nos ressentis des différents festivals. Oui je ne retrouve pas ça sur les gros festivals et même si je continue à y aller, ce sont bien les festivals plus intimistes et familiaux comme le MUSCADEATH ou autre que je préfère. Je ne me retrouve plus réellement dans les grosses structures ».

Avis clairement partagé. Et c’est ça que nous aimons chez toi MUSCADEATH. Car avec XXI ans d’existence, je pense que la taille de ton festival est clairement un choix, et un très très bon choix du point de vue de ceux que tu accueilles !!

Mon premier tour de piste se fait au milieu du set d’ACOD. Qui me met directement au diapason en entrant dans le vif du sujet… Une claque, je peux vous dire que les Marseillais n’ont pas traversé une bonne partie de la France pour rien !! Le ton est donné et ils l’ont fait d’une main de maitre… Je n’ai pas d’autre choix que de me mettre vers le premier rang pour venir jouer des coudes avec mes camarades !! Musicalement un régal… Ils sont carrés, le jeu de scène est très fluide et l’ambiance électrisante, avec un jeu de lumière plutôt orienté sur le rouge.

ACOD, un groupe en devenir, il faut clairement se l’avouer et on a vraiment l’impression ici d’assister à cette montée !! Ça met la chair de poule… Et c’est bon !!

Au tomber de rideau, laissant le temps au groupe suivant de se mettre en place, je décide d’aller prendre la température côté bar, et d’aller faire chauffer la carte bleue et le TPE. Quelle ambiance ! On sent l’effervescence et le plaisir qu’ont les festivaliers à être ici… Mais la suite arrive rapidement, hop j’y retourne.

Ouverture du rideau… NECROWRETCH… On sent le changement quand cette déferlante de Death, clairement sortie tout droit des entrailles de l’enfer, vous touche les oreilles. Ce son brut assez caractéristique à NECROWRETCH vous embarque… C’est comme un bon film d’horreur bien ficelé. Ça nous fait peur mais on a quand même envie de regarder et de connaitre la suite…

Vlad, les gars je peux vous dire que c’était énorme de découvrir la suite en se rapprochant et en se bastonnant avec les cousins pendant votre set ! Vous avez envoyé du lourd et on peut dire qu’on sent bien les 15 années d’expérience qu’il y a derrière. Vivement le début d’année prochaine pour avoir une autre surprise de votre part !

Une nouvelle fois quelques minutes de pause permettant d’aller prendre la température mais cette fois à l’extérieur. Sans oublier le Muscadet bien évidemment. On parlait de rencontre en début d’article… Ben on y est… A peine sorti de la salle, je tombe nez à nez avec des amis et Christian. Pas n’importe quel Christian… vous avez deviné ?

Et oui, il s’agissait bien de Christian Andreu (guitariste de GOJIRA) venu profiter du festival en famille (sa femme). Je n’ai pas pu, bien évidemment, ne pas tailler rapidement le bout de gras avec lui sachant que je les voyais jouer, il y a des décennies maintenant, dans les bars de la côte basque sous le nom de Godzilla … ça a fait remonter beaucoup de souvenirs et ça m’a filé pas mal de cheveux blancs, surtout quand on a commencé à compter les années ensemble !! Je ne manquerez pas de voir nos 2 acolytes d’ACOD avec nous .

Christian ayant aussi une vie, il est temps de le laisser retrouver sa moitié et d’aller, tout comme nous, profiter du dernier set de cette première journée. God Dethroned !

Ce groupe néerlandais, formé depuis 1991. Ils font un set carré, ils ont une présence sur scène. On sent le changement d’ambiance.

On perçoit la mise en avant de la technique avec un son plus clair et propre… avec des titres comme « Sigma Enigma » ou « Soul Sweeper ». On est ici en présence d’un bon gros groupe de Death qui nous en met plein la vue et plein les oreilles. On prend du plaisir, autant qu’eux et ça se voit dans le public. Le côté calé, je dirais même léché, nous donne une démonstration différente, non moins agréable bien entendu, que celles de nos French groupes de la soirée (qui ont tout déchiré ce soir et qui ne déméritent clairement pas !!)

Quelle première soirée !!! Qu’une chose à dire : vivement demain !!!

Deuxième journée (30/09/2023)

Comment ne pas commencer cette seconde journée sous le signe du metal, en allant se faire un petit pique-nique avec des amis sur le sacro-saint site du HF, à l’ombre du pilier d’entrée de la Warzone… Moment nous permettant de discuter des concerts de la veille et surtout de ceux à venir sur cette dernière soirée qui te clôturera MUSCADEATH

Arrivé aux alentours de 15h00 sur le site. Et oui les hostilités commençant à 15h30 avec ATROCIA, il était temps d’aller jouer des coudes au niveau du bar pour se chauffer entre cousins métalleux, avant le top départ de la seconde journée, mais cette fois avec de la monnaie MUSCADEATH !

Le rideau s’ouvre et nous voilà plongés avec du gros son et une bonne grosse voix. ATROCIA donne le ton d’entrée de jeu et la salle s’échauffe sur un rythme rapide avec quelques passages bien lourds et des riffs bien brutaux ! Quoi de mieux pour démarrer… La performance de nos Frenchy est tout simplement efficace avec un set de gros Death bien énervé, puissant et empruntant quelques gouttes de Trash histoire de s’assurer d’en prendre plein la gueule… Mais putain, qu’est-ce qu’on aime ça !! Et on en redemande encore !

Il est temps d’aller faire un brin de causette à l’extérieur et de profiter aussi du temps exceptionnel !! Non le metalleux n’est pas forcément un vampire, nous aussi on aime se faire effleurer la caouane par ces doux rayons qui brulent. L’ambiance est déjà là et les discussions aussi, jusqu’au moment d’entendre la première note de…. IRON FLESH.

On repart dans le pit, et quel pit! IRON FLESH, et je peux vous dire qu’ils ont toute leur place malgré ce qu’on peut souvent entendre, non : IRON FLESH n’est pas une pâle copie de qui que ce soit… Leur set est un pur régal auditif et visuel !! Je me fais peut-être des idées, mais ce ton bleu (avec les leds sur scène) m’a rappelé les couleurs du dernier album. Ce qui m’a clairement embarqué, même immergé dans ce set comme une séance d’hypnose… On vous attendait et on n’a pas été déçu… Quelle énergie !! Idem pour la séance de dédicace, merci pour votre dispo. J’en connais une qui ne l’a pas manquée (coucou Rose !).

Le set terminé et le temps de retailler le bout de gras avec Christian que j’ai recroisé entre 2 bières, il était déjà temps de découvrir le troisième groupe de la journée.

ESCUELA GRIND… Une seule chose à dire… Mais quelle claque !!

Ils diffusent une énergie incroyable… On n’a qu’une envie c’est de monter sur scène et de pogoter avec eux… Un échange entre le groupe et le public qui est du pur kiff, le tout accompagné de bon gros riff !! Une performance scénique comme on les aime ! Et si vous ne connaissez pas, je ne peux que vous conseiller d’aller jouer les curieux et de faire quelques emplettes pour acquérir leurs albums !

ESCUELA GRIND est, sans hésitation, le groupe qui devrait être obligatoire en cours de musique pour l’initiation au Grindcore.

Pas le temps de bouger avant le groupe suivant, car je suis en pleine conversation avec Vlad (guitariste/chanteur de NECROWRETCH) qui est resté sur le festival après leur performance de la veille.

SKELETHAL arrive et le ton change !! La noirceur est clairement de retour sur la scène ; que ce soit dans le jeu des musiciens ou dans la voix du chanteur tout droit sortie d’outre-tombe. Entre rapidité et riffs bien lourds, le moins que l’on puisse dire, c’est que nos deux compères Français n’y vont pas avec le dos de la cuillère quand il s’agit de vous emporter avec eux dans les profondeurs. C’est ce qu’ils souhaitent et il le font d’une main de maître pour notre plus grand engouement (en tout cas le mien ). L’ambiance est également de la partie avec leur jeu de lumière… L’extinction de l’humanité est à nos portes !!

Le rideau se referme et cette fois je me prépare, dans mon coin, à accueillir le groupe suivant. Plus besoin de les présenter après un peu plus de 30 ans d’existence… Ils ont clairement influencé la scène Grindcore Française et l’influencent toujours. Tout autant engagé musicalement que dans leurs textes, le temps de la communion arrive… BLOCKHEADS.

Je me rapproche de la scène et passe à côté d’un grand monsieur habillé tout en noir que je salue d’un check de la main en lui souhaitant de bien profiter. Vous allez me dire Hey mec ! Tu es dans un Fest de Metal, des gars en noir il y en a partout !!. Mais celui-ci est un peu différent car il a la particularité d’être batteur et ses camarades qualifient sa voix de voix de merde. Vous avez fait le rapprochement ?

Il s’agit de Manard (batteur d’Ultra Vomit) qui tout comme Christian est venu profiter du MUSCADEATH en toute simplicité.

Dès l’ouverture du rideau, c’est un appel immédiat que vous nous faite, la tempête arrive… Le temps de dire bonjour et BAM !!! C’est parti… Tout le monde se rapproche pour tout péter et le pogo démarre dès la première note et le premier slam arrive tout juste après les 30 premières secondes de concert. Ma foi, il me semble bien que la messe est dite !!

Mais cela n’étant pas suffisant, Xav (chanteur de BLOCKHEADS) continue sa démonstration lyrique, littéralement transporté par le public (en slam) pour terminer la première chanson du set. La chaleur est déjà là (petite pensée pour Nico, batteur de BLOCKHEADS, heureusement le ventillo est là et fonctionnel !!).

Je ne compte plus le nombre de circle pit ou de slam durant leur set tellement il y en a eu…

Mais quelle énergie !!! quel partage !!! On est clairement monté d’un niveau pour entamer la deuxième moitié de la dernière journée. Et sincèrement, merci pour ce set de folie, j’en veux encore !!!

Xav, les gars, merci d’avoir joué avec nous.

Le groupe suivant est tout autant attendu pour ma part. En effet, ce soir c’est leur première prestation depuis presque 20 ans. Quelle a été ma surprise lorsque j’ai découvert l’affiche du MUSCADEATH avec leur nom dans le line-up ! Ils se sont reformés et sont ici pour fouler de nouveau les planches devant nous. Eh bien je peux vous dire que ce groupe de Brutal Death Metal des Vosges n’a absolument rien perdu de sa prestance ni de son énergie.

KRONOS, vous revoilà !!! Hey d’ailleurs MUSCADEATH, je ne sais pas si tu es à l’origine de la chose mais si c’est le cas, putain MERCI !!!!!

Et ça commence très fort avec « Colossal Titan Strife » qui donne le ton (année anniversaire car cet album est sorti en 2003) ; Suivi du titre « Phaeton » qui nous recale les tympans au bon niveau. Sans parler de « Aeternum Pharaos Curse ».

Mais que ça fait du bien de voir à nouveau KRONOS prendre autant de plaisir que nous ce soir ! Ils se régalent et ça se voit… Une bonne partie du set montre clairement le retour anniversaire de « Collosal titan strife » mais pas que… Nous avons eu droit à quelques vieilleries qui nous ont tout autant fait du bien d’être là ce soir. A ne surtout manquer sous aucun prétexte. Le bon KRONOS Old school est dans la place.

Un petit moment interview ainsi que la pause repas me font revenir pour assister aux 2 dernières prestations du festival.

Donc j’enchaine avec l’avant dernier groupe, BLOOD RED THRONE. Nos voisins norvégiens arrivent sur scène déjà bien énervés et démarrent sur les chapeaux de roues. Malgré une cheville en moins pour Død (guitariste), le show est là !

On a une déferlante de sonorité qui enfonce le clou de cette dernière demi-journée. On est toujours dans le rythme depuis BLOCKHEADS et on en prend plein la gueule avec des titres comme « Itika » et « Blade Eulogy », d’une puissance incroyable. Le pogo ne désempli pas, bien au contraire.

L’aventure ne s’arrête pas là, nous avons droit à une séance de coiffure improvisée lorsque Bolt (Chanteur) entame un rasage à la tondeuse des cheveux de Clammy Hackett (Bass) permettant ainsi aux fans d’avoir une distribution gratuite d’une partie de tignasse.

S’il vous plait les gars, pas de vaudou avec, ça ne serait pas cool !!

On arrive sur la dernière ligne droite du festival. MUSACDEATH, tu nous as déjà pas mal régalés et tu nous proposes tout de même un dessert de choix… CARCASS !!

Je ne ferai pas l’affront de les présenter, nous avons allégrement dépassé ce stade et depuis longtemps…

Ça attaque fort avec « Buried Dreams ». Le riff de gratte de Bill, qui est plus qu’entrainant, nous embarque directement dans le vortex CARCASS. La machine est plus que rodée, le set déchire avec notamment « The Scythe’s Remorseless Swing », la présence sur scène, tout est là…

Je ne suis plus dans le pit mais plutôt éloigné de la scène pour admirer la prestation de CARCASS non loin de Xav (chanteur de BOLCKHEADS) qui fait de même.

Si ça ce n’est pas le meilleur moyen de clôturer un Festival je ne m’y connais pas… Mon seul regret : c’est déjà fini !!

Ça y est, on arrive à la conclusion de cette histoire. Alors maintenant je reviens sur mon message initial, s‘il y a bien une chose à retenir:

PUTAIN, ALLEZ-Y, FONCEZ !!!!!

Vous ne le regretterez pas, je vous le garantis !

Quant à toi MUSCADEATH, notre rencontre, qui a clôturée mon Fest Trip 2023, est tout bonnement une de ces surprises mémorables. Et je ne t’oublierai pas c’est une certitude. Tu m’as fait vibrer, tu m’as filé les poils, tu m’as fait tout simplement me sentir chez moi. Et pour ça je te remercie énormément !

Merci à toute l’orga pour le boulot fait, car grâce à ça on se sent bien avec toi MUSCADEATH. Merci au grand patron Ben et aussi à Alex de M&O pour l’accueil et toute la bienveillance.

MUSCADEATH, repose-toi bien et je ne peux que te dire… à l’année prochaine !!

Le site officiel du festival : Cliquer ici

Texte : Nicolas F. allias @Spirou

Photos :
Mémé Migou de Soil Chronicles
Aurélie La Faute (son insta)

Lieu : Espace Culturel Le Champilambart (Vallet, France) | 29 et 30/09/2023

There is 1 comment for this article
  1. Fabrice Lardeux at 18 h 49 min

    Salut
    Merci pour ton résumé de cette magnifique édition du muscadeath
    Festival que j ai découvert par des potes il y a 4 ans et je confirme des écrits
    Putain de Festival et familial
    J adore🤘

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *