[Le Son du moment] Headkeyz / CTRL+Z & Big Bad World

Le groupe originaire de Montpellier s’est formé en plein confinement en 2020. En 2022, Headkeyz sort son premier album The Cage & The Crown : Chapter I, et impose son empreinte à la croisée du rock alternatif des 90’s, du Nu-Metal des 2000’s et du Rock Fuzzy des 70’s.

C’est le récit dystopique à la sauce 90’s de l’avant fin, de ce silence tendu, ce bruit sourd et grave grossissant, se propageant avant l’effondrement final.

Un message énervé et engagé sur la place de l’Homme, ce super-prédateur, prisonnier de la cage qu’il s’est lui-même construite. C’est l’histoire de son égoïsme, de sa bêtise et de sa chute. Notre histoire. explique le groupe.

Le vinyle en édition limitée a été masterisé à Los Angeles par le légendaire Howie Weinberg (Nirvana, Jeff Buckley, Deftones etc…) et la version classique par Jean-Pierre Chalbos au Studio La Source à Paris (Gojira, Simple Minds, Daft Punk, Pleymo etc…). Dès sa sortie, l’album conquis la presse (France Inter, Rolling Stone France, Rock & Folk, Rock Hard ou encore Hard Force). Headkeyz a depuis fait ses armes en live et joué aux cotés d’artistes comme Marco Mendoza, Dino Jelusic ou encore Bukowski. Le groupe a récemment signé pour deux synchronisations avec la société The Mill (Technicolor Creative Studios).

Headkeyz retournera en studio en 2024 pour préparer son retour avec un nouvel album intitulé The Cage & The Crown : Chapter II.

Le clip de Big Bad World (intégrant également l’interlude CTRL+Z viendra clôturer définitivement le premier album du groupe dans un court métrage sombre et atmosphérique. Il est la suite directe des deux précédents clips Killing God et Passenger. On y retrouve la créature emblématique, incarnée par Fiona MEDJAHED, poursuivant son périple dans cet univers monochrome propre à HEADKEYZ. Les textes de Big Bad World décrivent cette capacité incontrôlable qu’a l’Homme à tout détruire, pensant bâtir un temple doré à son image, sa couronne d’égoïsme. Ce titre est un cri du coeur, un cri de rage et de dégoût envers l’humanité. Big Bad World décrit cette honte de faire partie de l’espèce humaine.

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