[Le Son du moment] Basia Bulat / My Angel

Après Baby le premier single à avoir introduit l’arrivée de l’album de Basia Bulat, voici le second single My Anglel qui s’accompagne également d’un clip réalisé par Nora Rosentha qui raconte Cette chanson parle d’un coup de foudre — une émotion bouleversante qui semble définitive, sans équivoque et mystérieuse à la fois. Je voulais que mon chant reflète la façon dont j’ai écrit la musique. Les arrangements de cordes sur My Angel et sur l’album dans son ensemble ont été écrits et joués par Drew Jurecka, et j’adore comme il a capturé l’aspect énigmatique et romantique de l’amour au premier regard, les violons se transformant en quelque chose de divin.

Co-réalisé par Bulat et son fidèle collaborateur Mark Lawson, et mixé par le légendaire ingénieur Tucker Martine (Beth Orton, Neko Case, The National) – Basia’s Palace sortira le 21 février.

Basia Bulat est une auteure-compositrice-interprète venue de Montréal. Depuis ses premiers singles en 2007 elle se fait connaître à la fois avec sa voix distinctive et un art qui puise autant autant dans le R&B et la soul que dans le folk classique. En plus de ses talents de chanteuse, Basia est aussi une multi-instrumentiste accomplie qui enregistre et joue de la guitare électrique, du piano, de l’autoharpe, du ukulélé, de la basse et du charango.

Après six albums : Oh, My darling (2007), Heart of My Own (2010), Tall Tall Shadow (2013), Good Advice (2016), Are You in Love ? (2020) et The Garden (2022), elle présentera son nouvel album Basia’s Palace et ce premier single Baby pour l’annoncer.

Son talent est reconnu à grande échelle depuis de nombreuses années : ses chansons ont été adaptées pour des représentations majeures avec des orchestres symphoniques, elle a été invitée à se produire lors d’hommages prestigieux à Leonard Cohen, Daniel Lanois, Nick Cave et The Bad Seeds et depuis la sortie de son premier album, elle a déjà partagé la scène avec des artistes tels que St Vincent, Sufjan Stevens, Nick Cave, The National, Michael Kiwanuka, Daniel Lanois, Beirut, Destroyer, US Girls, Jim James et bien d’autres encore. Elle a participé aux Tiny Desk Concerts de NPR, s’est produite dans le cadre de la série #LateShowMeMusic sur Late Show with Stephen Colbert et Later with Jools Holland, et a reçu le soutien de The Needle Drop, The New York Times et bien d’autres encore. Elle a déjà été trois fois finaliste du Prix de musique Polaris et nominée pour cinq prix JUNO.

Basia’s Palace est un lieu façonné d’amour, de souvenirs et de mauvais câblages ; c’est un paradis qui s’anime aux petites heures de la nuit, à un moment propice aux jeux vidéo et aux disques de Leonard Cohen, quand on s’assoit dans toute cette richesse, en recueillant tout le désordre dont nous héritons. En collaborant avec son coproducteur Mark Lawson, elle s’est retrouvée dans un monde de rêves faits de chuchotements, de synthétiseurs, de premières chansons de l’Eurovision et de Moon Safari de Air, ou encore des albums vaporeux de Maryla Rodowicz de son grand-oncle. Le résultat ressemble à un album caché derrière les photos d’enfance – on y retrouve des arrangements de cordes de Drew Jurecka (Dua Lipa, Alvvays), ou le légendaire ingénieur Tucker Martine (Beth Orton, Neko Case, The National) au mixage. « Disco Polo » est un morceau que Basia pensait faire depuis longtemps – une chanson folk nommée d’après un genre de musique de danse polonaise trash que son père aimait tant.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *