[Le Son du moment] Iguana Death Cult / Oh No
Echo Palace est peut-être l’album d’Iguana Death Cult qui traite le plus ouvertement de l’étrange cause et effet de la pensée de groupe. En observant la paranoïa pandémique et les théories de la conspiration qui se répandent dans leur pays, la Hollande, Reek a écrit des paroles qui reflètent la scène devant laquelle il se trouve : Purple, veinysoccer mommies, chante-t-il d’une voix grave et prémonitoire sur la chanson Echo Palace, Sharpening their guillotines. C’est un morceau si contagieux qu’il trahit la densité de ses paroles, adaptées d’un poème que Reek a écrit sur les répercussions de shutting yourself off from everyone outside of your ownideology. Lorsqu’il s’est agi d’enregistrer le set complet, le groupe s’est rendu au PAF Studio à Rotterdam, puis a fait mixer l’album autoproduit par Joo-Joo Ashworth (Sasami, Dummy) au Studio 22 à Los Angeles et l’a fait masteriser par Dave Cooley (Tame Impala, Yves Tumor).
L’album est un grand élan, qui pousse Iguana Death Cult à sortir de sa zone de confort et l’amenant dans un nouveau domaine. C’est le genre de projet qui a justifié l’intervention du légendaire saxophoniste hollandais Benjamin Hermans pour ajouter à la tempête sur des titres comme Oh No et Sensory Overload, des morceaux entêtants qui deviennent des monstres calculés; qui a justifié que Reek et Opschoork sachent quand hurler leurs tripes sur des titres comme
Echo Palace est peut-être l’album d’Iguana Death Cult qui traite le plus ouvertement de l’étrange cause et effet de la pensée de groupe. En observant la paranoïa pandémique et les théories de la conspiration qui se répandent dans leur pays, Reek a écrit des paroles qui reflètent la scène devant laquelle il se trouve : « Purple, veinysoccer mommies », chante-t-il d’une voix grave et prémonitoire sur la chanson Echo Palace, « Sharpening theirguillotines ». C’est un morceau si contagieux qu’il trahit la densité de ses paroles, adaptées d’un poème que Reek a écrit sur les répercussions de « shutting yourself off from everyone outside of your ownideology ». Lorsqu’il s’est agi d’enregistrer le set complet, le groupe s’est rendu au PAF Studio à Rotterdam, puis a fait mixer l’album autoproduit par Joo-Joo Ashworth (Sasami, Dummy) au Studio 22 à Los Angeles et l’a fait masteriser par Dave Cooley (Tame Impala, Yves Tumor).
L’album est un grand élan, qui pousse Iguana Death Cult à sortir de sa zone de confort et l’amenant dans un nouveau domaine. C’est le genre de projet qui a justifié l’intervention du légendaire saxophoniste hollandais Benjamin Hermans pour ajouter à la tempête sur des titres comme Oh No et Sensory Overload, des morceaux entêtants qui deviennent des monstres calculés; qui a justifié que Reek et Opschoork sachent quand hurler leurs tripes sur des titres comme Pushermen, et que Boer et van Opstal sachent quand amener la section rythmique à un frémissement jazzy sur des titres comme Paper Straws.
Le résultat final d’Echo Palace est un album très cosmopolite d’un groupe qui dépasse les limites de son pays d’origine.